Découvrez une célébrité portugaise à connaître absolument Amalia Rodrigues, la chanteuse de Fado la plus connue de l’histoire.

Vous trouverez ci-dessous :

• Qui est Amalia Rodrigues ?
• Quels lieux lui sont dédiés à Lisbonne ?
• Pourquoi est-elle si respectée au Portugal ?

Dans cet article, je vous propose de découvrir la vie d’une des figures les plus connues et les plus respectées du Portugal : la chanteuse de Fado Amalia Rodrigues.

Emblème d’une époque, ambassadrice de l’image du Portugal à travers le monde, l’influence d’Amalia est encore palpable à Lisbonne, dans certains lieux que je vous invite à découvrir.

Suivez le guide !

Amalia Rodrigues : sommaire de l’article

Qui est Amalia Rodrigues ?

Amalia Rodrigues est surnommée la Reine Du Fado, et c’est un titre mérité quand on connaît l’influence qu’a eu la chanteuse sur la diffusion du Fado dans le monde. Avec plus de 170 disques enregistrés au cours de sa longue carrière, elle a marqué la musique à tout jamais et inspiré de nombreux artistes par la suite.

Née en 1920 à Fundao, une ville du District de Castelo Branco au Portugal, Amalia Rodrigues provient d’une famille très pauvre avec un père cordonnier et musicien. Elle rejoint Lisbonne alors qu’elle n’a que 14 mois et sera élevée par ses grands-parents maternels dans la capitale.

Très tôt, elle doit arrêter l’école pour travailler, à 12 ans, et fera de la broderie, de l’emballage de gâteaux et de la vente de fruits pour subsister.

C’est en 1936, alors qu’elle a 16 ans, qu’elle se fait remarquer à l’occasion d’un défilé populaire à Alcantara, puis qu’elle est invitée à participer au « Concours du Printemps » qui voit le titre de Reine du Fado des Quartiers être remis. Elle est alors découverte par un spectateur qui en parle au directeur de la Casa do Fado, qui lui propose une audition…

La machine est lancée et le monde s’apprête à découvrir la plus grande des chanteuses de Fado !

Pauvreté, dictature et hommage national

Dès 1939, Amalia Rodrigues va fréquenter les maisons de Fado et se faire un nom rapidement. Peu à peu, elle développe ce style qui la caractérise – avec les yeux fermés, immobile, comme transportée par son propre chant – et elle se fait une place parmi les grands noms du Fado.

Une Star Internationale 

Ses voyages commencent, avec l’Espagne, l’Angleterre, l’Angola, le Mozambique, le Brésil dont est originaire son mari, les États-Unis, la France… et ses chansons, chantées en portugais principalement, mais également en français, italien, espagnols ou anglais font d’elle une vedette internationale.

La consécration et la dictature 

Au début des années 60, la popularité d’Amalia Rodrigues est à son apogée et elle enchaine les concerts et les apparitions (au théâtre, au cinéma…), tout en servant, sans forcément le vouloir, d’ambassadrice de la propagande salazariste avec son système des trois F : Fado (le nationalisme), Fatima (la religion) et Football (caractérisé par Eusebio).

Lors de la chute du Régime dictatorial, le 25 avril 1974, des cris l’accusant de fascisme se font entendre et Amalia se retire de la vie publique pendant 11 ans.

Une renaissance tardive 

Elle ne reviendra que dans les années 80,  avec de nouveaux titres, un livre de poèmes et de nombreuses décorations reçues de part et d’autre de la planète.

Elle s’éteint à Lisbonne, le 6 octobre 1999, ce qui provoque une immense tristesse dans le pays. 3 jours de deuil national sont décrétés et des milliers de Lisboètes se presseront dans les rues, le jour de ses obsèques.

Aujourd’hui, elle repose au Panthéon National de Lisbonne.

Mon top 3 pour suivre Amalia Rodrigues à Lisbonne !

En vous promenant dans Lisbonne, plus spécifiquement dans le quartier de l’Alfama, vous entendrez très certainement résonner la voix d’Amalia Rodrigues, en provenance d’une boutique de CD ou d’un club de Fado.

Si vous désirez en apprendre plus sur cette figure emblématique, ou simplement découvrir les hommages qui lui sont faits, voici mes conseils.

La maison Musée d’Amalia Rodrigues

Cette maison-musée dans laquelle Amalia Rodrigues a vécu pendant plusieurs décennies se visite, et elle est restée comme l’avait laissé la chanteuse de Fado. On peut y voir ses robes, ses trophées, des photos, une partie de son quotidien…

Toutes les pièces sont accessibles, ce qui permet de partager un moment presque intime avec cette dame, et un guide (francophone quand il est disponible) vous fera la visite. Un petit jardin vous accueille également, pour une petite pause au calme, dans une ambiance propice à la réflexion.

• Adresse : Rua de Sao Bento 193, 1250-219, Lisbonne
• Horaires : du mardi au dimanche, 10:00 – 13:00, 14:00 – 18:00
• Tarifs : 9 euros pour un adulte /7 euros pour les + de 65 ans / 4.5 euros pour les étudiants / gratuit jusqu’à 12 ans /  (réduction de 20 % avec la Lisboa card).

Le monument Amalia Rodrigues

Parmi les hommages les plus surprenants, celui qui se trouve Rue de Sao Tomé, près du mirador de la Porta do sol. Réalisée dans le style de la Calçada Portuguesa, cette fresque de pavé est une célébration moderne et particulièrement réussie de cette chanteuse intemporelle.

Le Jardin Amalia Rodrigues

Derrière le parc Eduardo VII se trouve un petit havre de paix…qui porte le nom de Jardim Amalia Rodrigues. Un endroit apaisant, qui s’il ne porte pas de mention particulière de la vie de la chanteuse, témoigne de l’importance de celle-ci : on lui a dédié l’un des lieux les plus agréables de la ville !

Quelques titres à découvrir pour vous mettre dans l’ambiance…

Si vous désirez vous préparer comme il se doit à votre visite de Lisbonne, rien de tel que d’écouter quelques titres d’Amalia Rodrigues.

Avec plus de 30 millions de disques vendus dans le monde et un nombre de titres produits incroyables, la Reine du Fado reste l’artiste portugaise la plus prolifique et vous aurez l’embarras du choix.

Je vous conseille :

• le titre Lisboa Antiga, une superbe chanson dédiée à la capitale Portugaise
• le titre Lisboa Não Sejas Francesa que je vous laisse interpréter à votre guise(!)
• Une interprétation en Français – la maison sur le Port – magnifique !

Je vous en dis plus sur les autoroutes au Portugal, pour des trajets faciles en voiture, entre deux villes, lors de votre séjour.

Dans cet article, vous apprendrez notamment :

• Quel est l’état du réseau autoroutier au Portugal ?
• Les autoroutes sont-elles toutes payantes ?
• Comment régler la note quand on les utilise ?
• Que faut-il savoir si vous louez une voiture et que vous prenez l’autoroute au Portugal ?

Si vous avez choisi de louer une voiture ou de parcourir le pays avec votre propre véhicule, vous serez certainement confronté à des autoroutes lors de votre séjour au Portugal. Quelques subtilités sont à connaître, car le système autoroutier diffère quelque peu de celui qu’on connaît en France. Mais rien de sorcier, rassurez-vous !

Suivez le guide !

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Autoroute Portugal : sommaire de l’article

Un réseau routier bien développé… et payant ?

Les routes et les autoroutes Portugaises sont, en général, en bon état et conduire n’est pas déplaisant. Le pays étant assez petit, de nombreux voyageurs choisissent de louer un véhicule ou bien de rejoindre le Portugal avec leur propre voiture, pour découvrir le maximum de zone.

Les Portugais de France qui viennent durant les vacances privilégient cette solution pour faire le plein de cadeaux en descendant et pour remonter avec la voiture chargée de spécialités locales !

Autant être familier avec les autoroutes du Portugal, pour que tout se passe bien. La première chose à savoir, c’est qu’on trouve 2 types d’autoroutes :

• L’autoroute avec un péage classique, tel qu’on le pratique en France
• L’autoroute avec un péage électronique, de plus en plus présent dans le pays.

Voici la liste des autoroutes concernées par le système électronique de paiement :

• A 4 (Bragance et Matosinhos-Águas Santas)
• A 8 (sud de Leiria)
• A 13 (Atalaia – Tomar)
• A 17 (Aveiro – Mira)
• A 19 (Batalha)
• A 22 (Lagos – Castro Marim)
• A 23 (Torres Novas – Guarda)
• A 24 (Vila Verde de Raia – Viseu)
• A 25 (Albergaia a velha – Vilar Formoso)
• A 27 (Viana do Castelo-Ponte de Lima)
• A 28 (Viana do Castelo-Porto)
• A 29 (Miramar – Angeja), A33 (Belverde – Coina)
• A 41 (Perafita/Frexeiro – Sêroa ouest)
• A 42 (Sêroa ouest- Lousada)

Vous les reconnaîtrez à l’indication Electronic toll only – Portagem electronica, et je vous explique comment les payer, plus bas.

Des autoroutes gratuites, payantes…puis de nouveau gratuites ? 

Pour la petite histoire, sachez qu’une partie des autoroutes étaient 100 % gratuite au Portugal jusqu’en 2010. Ces SCUT – Sem Custo para o Utilizador, soit sans coût pour l’usager – sont devenus payantes suite à la crise européenne et elles le sont restées par la suite. Si vous entendez des Portugais pester contre ce système et refuser d’emprunter ces voies, vous saurez désormais pourquoi.

Mais la bonne nouvelle, c’est qu’en 2025, on revient à la gratuité des péages sur plusieurs autoroutes ! Depuis le début de l’année 2025, 7 sections d’autoroutes ont retrouvé leur gratuité, pour le plus grand plaisir des automobilistes. Il s’agit de :

• A4  (Transmontana et Túnel do Marão)
• A13 et A13-1: Intérieur Pinhal
• A22: Algarve
• A23: Beira Intérieur
• A24: Intérieur Nord
• A25: Beiras Litoral et Alta
• A28: Miño, sur les tronçons Esposende et Antas  / Neiva et Darque

Une initiative louable, destinée à fluidifier la circulation, à réduire les coûts de transports associés à l’inflation et à faciliter le déplacement des visiteurs étrangers au sein du Portugal.

Comment payer l’autoroute au Portugal ?

Le système électronique de paiement des péages est très simples… quand on l’a compris ! Des caméras et un système de détecteur vont enregistrer votre passage (et votre plaque d’immatriculation), et ainsi les paiements dus.

Pour être en règle, vous aurez quatre solutions : Via Verde, Easytoll, Ulys (et les outils de télépaiements internationaux), aurpès de la Poste.

Via Verde

Soit vous optez pour le boitier Via Verde, qui permet de passer tous les péages grâce à un abonnement. Le boitier, disponible contre une caution de 28 euros (+ quelques euros de frais de location), est relié à votre carte bancaire et vous serez ainsi débité automatiquement à chaque passage.

C’est une solution simple, qui est disponible également pour ceux qui louent un véhicule. Il suffit d’en faire la demande lors de la réservation. Sinon, le boitier est disponible en ligne, dans les boutiques de la marque ou dans les stations services.

Easytoll

La seconde solution consiste à utiliser des cartes prépayées Easytoll ou de choisir une formule pour 1 mois. Ce système, également disponible sur Internet et dans certaines stations-services (indiquées par des panneaux multilingues) est de plus en plus développé. Plus d’information sur le site officiel, en français.

Le Télépaiement via des systèmes internationaux 

Il existe désormais une interopérabilité avec les systèmes de télépaiement d’autres pays, comme Ulys, Bip and Go (pour la France, le Portugal, l’Espagne et l’Italie) et Fulli, pour la France, le Portugal et l’Espagne. 

Souvent, vous n’avez qu’à activer l’option internationale pour circuler librement sur l’autoroute au Portugal et les coûts seront ajoutés au dispositif. C’est très pratique !

Le paiement auprès des CTT (Poste Portugaise)

Enfin, la 4^e alternative consiste à passer les péages sans boitier, puis à venir régler la note directement auprès des CTT (la poste portugaise), en donnant votre numéro de plaque d’immatriculation. Vous avez entre 2 et 5 jours maximum pour le faire, selon l’autoroute empruntée…

Pénible, cette solution favorise surtout les oublis. Et avec une amende qui multiplie la somme due par 25, mieux vaut pourtant être en règle.

Tarifs des autoroutes portugais : c’est cher ?

L’autoroute, au Portugal, est chère et cela explique en partie pourquoi de nombreux habitants privilégient le bus ou le train pour leurs déplacements.

Voici quelques exemples de prix pour les trajets les plus effectués :

• Lisbonne – Porto : environ 23 euros
• Lisbonne – Faro : environ 23 euros
• Lisbonne Badajoz en Espagne : 17 euros

À cela s’ajoute le prix de l’essence, sensiblement similaire à celui pratiqué en France et vous pourrez dresser un budget véhicule pour vos vacances.

Conduire sur l’autoroute au Portugal : les précautions à prendre

Pour conduire au Portugal, vous n’aurez besoin de votre permis de conduire européen, ou d’un permis de conduire international si vous êtes originaire d’un pays qui ne fait pas partie de l’UE.

Au niveau des règles, rien de très étonnant, avec une conduite proche de celles des pays voisins, et des limitations de vitesse à 120 km/h sur les autoroutes, 100 km/h pour les voies rapides. Des radars sont installés un peu partout pour garantir le respect de ces règles.

S’il n’y a pas plus de dangers qu’ailleurs sur les autoroutes du Portugal, attention à la conduite quand vous sortez des grandes voies. Dans les petits villages, les habitants roulent parfois très vite – du fait des routes peu fréquentées – et des véhicules sont parfois garés en travers de la chaussée, près des habitations.

Mieux vaut donc rouler en toute décontraction, ce qui vous permettra en plus d’admirer les superbes paysages !

Il faut également garder en tête que le téléphone portable est strictement interdit au volant, que le taux d’alcoolémie à ne pas dépasser est de 0.5 g d’alcool par litre de sang (0.2 pour les jeunes conducteurs), que la ceinture de sécurité est obligatoire pour tous !

Bonne route !

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Vous caressez le rêve de venir vivre au Portugal ? Voici ce qu’il faut savoir pour éventuellement concrétiser ce projet, en toute connaissance de cause.

Dans cet article, vous apprendrez notamment :

• Pourquoi venir vivre au Portugal ?
• Quels sont les avantages du pays ?
• Connaissez-vous les inconvénients du Portugal ?
• Quelles démarches faut-il effectuer pour vivre au Portugal ?
• Mes conseils et mes recommandations
• Et bien d’autres choses !

Avec un climat clément dans une bonne partie du pays, des plages de rêves, des paysages splendides, des habitants adorables et une culture fort intéressante, le Portugal est un pays qui fait désormais rêver de nombreuses personnes, qui songent à s’y installer. Voici tout ce qu’il faut savoir, avant de vivre au Portugal.

Suivez le guide !

Vivre au Portugal : sommaire de l’article

Pourquoi vouloir vivre au Portugal ?

Chacun aura sa propre raison de vouloir vivre au Portugal, mais les plus courantes sont celles-ci :

• Quitter la France et son ambiance plus morose
• Profiter des avantages fiscaux du pays
• Augmenter son niveau de vie
• Découvrir une nouvelle culture
• Renouer avec ses racines

Il est vrai que le pays possède de nombreux atouts, surtout si vous êtes Français. Bien qu’à l’étranger, vous êtes très proche de la France, accessible en avion, en train ou en bus assez rapidement, ce qui permet de voir vos proches facilement et fréquemment. En plus, ils se feront un plaisir de venir vous retrouver au Portugal !

Vivre au Portugal, c’est aussi profiter d’un cadre de vie somptueux. Selon la zone dans laquelle vous vous installerez, vous disposerez de plages merveilleuses (dans l’Algarve), d’une vie animée sans trop de stress à Lisbonne, de zones montagneuses d’exception dans la région de la Serra da Estrela…

Le rythme de vie n’est pas le même – il est beaucoup plus détendu – et les Portugais sont en général des personnes très agréables et très respectueuses, qu’il fait bon côtoyer.

Autant de bonnes raisons de poser vos valises dans le pays ?

Les avantages fiscaux en 2025 

Certaines professions peuvent bénéficier d’un statut fiscal très avantageux au Portugal, baptisé RNH : Régime Fiscal du Résident Non Habituel. Il confère une réduction d’impôt importante (20 %)  et s’adresse aux personnes officiant dans un domaine à forte valeur ajoutée pour l’État.

Ce système, conçu au départ pour attirer des travailleurs experts, s’est vite transformé en avantage énorme pour les retraités français quand il a été étendu aux retraités européens. Ces derniers pouvaient être exemptés d’impôts pendant 10 ans ! Et ainsi réaliser de grosses économies, à réinvestir dans le quotidien ou dans l’achat d’un bien immobilier dans le pays.

Mais le statut RNH change en 2025 et il ne concerne plus que les travailleurs pratiquant une activité à forte valeur ajoutée de nature scientifique, artistique ou technique. 

Pour les personnes éligibles qui souhaitent en bénéficier, il ne faut pas avoir résidé plus de 6 mois par an sur le territoire portugais durant les 5 années précédant la demande.

Cumulé à un cout de la vie au Portugal plus bas qu’ailleurs en Europe, on comprend pourquoi les étrangers ont été de plus en plus nombreux à vouloir vivre au Portugal.

Les démarches à suivre à l’installation

1. Obtenir son n° de contribuinte

Pour s’installer dans le pays et pouvoir effectuer toutes les démarches administratives sans embuche, il faut commencer par demander un NIF (numéro d’identification Fiscal), qui vous identifiera partout. Pour cela, il suffit de se rendre dans l’un des bureaux de l’Autoridade Tributaria (celui de votre zone de résidence / de votre travail), et de présenter :

• Une pièce d’identité valide
• Un justificatif de domicile

2. S’inscrire à l’assurance santé

Le Portugal fonctionne avec des Centre de Saude (centre de santé), disponibles par zone de résidence. Pour bénéficier de soin, il faut s’inscrire dans celui qui correspond à votre zone de domiciliation, en vous munissant de :

• Une pièce d’identité valide
• Un justificatif de domicile

Pensez, avant de vous rendre au Portugal, à vous munir de la carte Européenne d’Assurance Maladie qui assure la transition.

3. Ouvrir un compte en Banque au Portugal

Votre numéro de Contribuinte (NIF) vous sera demandé pour cette étape, en plus d’un justificatif de domicile et d’une preuve d’identité. Attention aux frais bancaires, parfois surprenants quand on n’est pas habitué… ! Comparez les établissements.

Mes conseils, à appliquer avant de venir vivre au Portugal

Si pour de nombreux touristes, le coup de cœur pour le Portugal est immédiat, il serait imprudent de se précipiter pour changer de vie. Il y a une nette différence entre passer ses vacances dans le pays et s’y installer. Voici mes conseils, pour faire la part des choses.

Se familiariser avec le lieu

Le plus important est, selon moi, de connaître l’endroit où vous aimeriez vous installer et de dresser les pours et les contres. Je reçois parfois des messages qui me disent Je veux vivre au Portugal, vous pouvez m’aider ?

Vivre au Portugal ? Mais où ? Avec quel budget ? Dans quelle situation familiale ? Pour le prix d’un studio à Lisbonne, vous pourriez avoir une maison à Castelo Branco !

Pour vous faire une idée, il convient de visiter, de parcourir les différentes régions et de définir des priorités.

Pour cela, mieux vaut donc commencer par louer un habitat, avant d’acheter les yeux fermés. Ce sera plus sage, et cela vous laisse la liberté de tester différents quartiers et différentes villes !

A lire : investir au Portugal : mon guide complet

Se poser les bonnes questions 

Ensuite, il est important de vous demander pourquoi le Portugal. Si ce n’est que pour des raisons fiscales, vous risquez d’être déçu.

En effet, le pays, aussi intéressant soit-il, est totalement différent de la France (et des pays voisins), ne serait-ce que par son calme et son rythme bien plus lent (notamment l’administration). Ceux qui viennent en conservant l’esprit stressé de leur pays natal pourrait mal le vivre.

Être ouvert à la culture locale 

De plus, il est essentiel d’avoir un intérêt pour la culture locale – riche et passionnante-  sous peine de vous retrouver isolé, face à des portugais désabusés par votre manque de curiosité. Cela arrive hélas assez fréquemment !

Apprendre quelques mots de portugais avant de débarquer avec vos bagages me semble une condition Sine qua Non à la réussite de votre installation.

Prenez le temps qu’il faut pour faire le bon choix, et vous verrez que vivre au Portugal est bel et bien un choix judicieux !

Vivre au Portugal : budget et recommandations

Si les prix varient énormément d’un coin à l’autre du pays, comptez en moyenne 1200 euros /mois pour être tranquille.

Attention, à Lisbonne ou à Porto, cela sera insuffisant, notamment du fait de la flambée du prix des logements, et il faudra plutôt tabler sur 1800€/2000€ mensuels. En revanche, dans des zones plus reculées, vous profiterez sans mal de la vie avec un petit budget.

N’hésitez pas à demander conseils à des personnes ayant déjà fait cette démarche, car les retours d’expérience, bons comme mauvais, vous seront très utiles.

Enfin, venez aussi souvent que possible, avant de déménager. Avec le temps et l’expérience, on apprend à apprivoiser ce beau pays, avec ses avantages et ses inconvénients.

Projet colossal, le nouvel aéroport de Lisbonne fait parler de lui depuis des années. Où en sommes-nous en 2025 ?

Dans cet article, vous apprendrez notamment :

• Où se situera le nouvel aéroport de Lisbonne ?
• Pour quand est-il prévu ?
• À quoi servira-t-il ?
• Quelles sont les problématiques que pose sa construction ?

L’aéroport Humberto Delgado de Lisbonne fait face à un afflux constant et massif de visiteurs, qui surpasse sa capacité d’accueil initiale. De ce fait, le gouvernement Portugais a pris la décision de construire un nouvel aéroport à Lisbonne, pour désengorger et fluidifier le trafic. Un projet en cours, malgré de nombreuses polémiques.

Je vous explique tout ça !

Nouvel aéroport de Lisbonne : sommaire de l’article

Nouvel aéroport à Lisbonne : où en sommes-nous en 2025  ?

L’aéroport de Lisbonne – Humberto Delgado – a écopé du titre de pire aéroport du monde à plusieurs reprises récemment, du fait de ses temps d’attente à rallonge, de ses retards constants et de la désorganisions générale de ses services.

Un vrai souci, pour la capitale portugaise qui attire de plus en plus de visiteurs, dont la grande majorité fait le voyage par avion.

Avec une capacité d’accueil de 11 millions de voyageurs annuels, le site est saturé depuis 2018, puisque chaque année plus de 30 millions de passagers ont foulé le sol de l’aéroport de Lisbonne. Trop, beaucoup trop, ce qui a poussé le gouvernement et les principaux décisionnaires à réagir.

Une signature officielle en 2024

Le projet de nouvel aéroport de Lisbonne est discuté depuis plusieurs décennies, mais il a pris son envol en 2008, quand le maire José Socrates a approuvé le site du NAL – le Novo Aeroporto de Lisboa –  qui se situera à la frontière entre Montijo et Alcochete, à 30 km en face de Lisbonne, au bord du Tage.

La signature officielle a été faire le 27 mai 2024, et il a même un nom : l’Aéroport Luís de Camões ! 

C’est le Groupe ANA (Aeroportos de Portugal, une filiale de VINCI), qui a promis d’investir plusieurs milliards d’euros dans le projet d’ici à 2037, répartis ainsi : un agrandissement de l’aéroport Humberto Delgado, et la construction du nouvel aéroport civil de Lisbonne, de l’autre côté du Tage.

Le coût seul de l’aéroport est estimé à 8,5 milliards d’euros et il pourrait être prêt en 2037, selon les dernières informations. Selon l’avancée des travaux, une inauguration en 2036 pourrait même être envisagée. Toutefois, on n’est pas à l’abri d’un retard, car les polémiques qui ont émaillé le projet jusque-là pourraient se poursuivre.

Des polémiques, qui freinent le projet du deuxième aéroport de Lisbonne

C’est sur le site d’une ancienne base militaire que devrait se faire la construction, et même si tout semblait acté, la création de ce nouvel aéroport pose de nombreuses questions et inquiète une partie des habitants.

Si même les opposants reconnaissent que Lisbonne (et le Portugal plus généralement) dépend désormais énormément du tourisme pour son économie, des craintes sont émises à plusieurs niveaux.

Les dégâts sur l’écosystème 

Certains écologistes redoutent que ce projet impacte très négativement la faune locale, en faisant disparaitre une partie des oiseaux migrateurs de la Foz de Tejo, pourtant protégés par des traités internationaux.

Une étude environnementale a été effectuée en septembre 2019 et bien que certains problèmes aient été identifiés, les partisans d’un arrêt du projet savent que leurs voix ne pèsent pas assez, face à l’intérêt national évoqué par le gouvernement.

Du bruit et de la pollution

À côté de ça, les habitants de la zone de Montijo / Alcochete sont également très inquiets, car qui dit nouvel aéroport dit grands bouleversements. Le bruit et la pollution vont très certainement s’accroître, car les prévisions parlent de 45 millions de passagers annuels pour cet aéroport.

La flambée des prix 

Pour cette banlieue lisboète, calme et préservée du tourisme de masse, les inquiétudes sont immenses, d’autant plus que la création de cette nouvelle structure pourrait entraîner dans son sillage une flambée des prix des hébergements voisins et une mainmise des investisseurs sur le marché immobilier, en vue de créer des hôtels.

Si les décisions semblent prises, il est plus prudent d’attendre le début des travaux pour certifier à 100% du démarrage du projet.

Comment arriver à ce nouvel aéroport ?

Parmi les questions qui se posent concernant le nouvel aéroport de Lisbonne, il y a celle de son accessibilité. Pour le moment, se rendre dans cette banlieue en face de Lisbonne demande de prendre le Ferry à la station fluviale de Cais do Sodre ou d’emprunter le pont du 25 avril – très fréquenté en heure de pointe – pour traverser en voiture.

Des navettes reliant l’aéroport aux principales gares seront normalement mises en place, et un projet de métro en surface qui parcourrait du Pont de Vasco de Gama serait envisagé par la société qui gère le pont actuellement (Lusoponte).

Une donnée particulièrement importante, car pour l’instant, rejoindre le centre-ville de la capitale est un jeu d’enfant. Si les voyageurs perdaient ce privilège en atterrissant à Montijo / Alcochete, il est probable que cela impacte l’envie de se rendre à Lisbonne.

Des conséquences économiques positives ?

Construire un nouvel aéroport à Lisbonne est donc essentiel, face à l’explosion du tourisme, plus rapide que prévue, et les conséquences positives pourraient se faire sentir à plusieurs niveaux.

D’abord, la construction de cette nouvelle structure permettrait la création de 10 000 emplois supplémentaire dans la région. De plus, les répercussions sur les villes voisines pourraient également se faire sentir, avec des voyageurs plus prompts à découvrir ce côté de Lisbonne, trop souvent oublié.

De plus, désengorger l’aéroport principal est devenu une nécessité, car les observateurs du tourisme local estiment que la ville perd environ 1.8 millions de visiteurs, faute d’espaces aériens suffisants pour les vols.

Nouvel aéroport à Lisbonne : une urgence depuis 50 ans

Le projet semble donc sur de très bonnes voies, depuis son inscription au journal officiel du pays en 2024, mais l’incertitude autour de cet aéroport restera jusqu’à son ouverture. Il faut dire que depuis 50 ans, cette idée est évoquée et rien n’a encore été fait.

Depuis 1969, plusieurs projets ont été étudiés et une douzaine de localisations sélectionnées pour  remplacer l’aéroport Humberto Delgado. Mais suite à la chute de Salazar en 1974, et la crise qui en découla, l’idée resta au placard.

En 1999, c’est la ville de Ota qui est choisie pour héberger le nouvel aéroport. Située à environ 50 km de Lisbonne, elle représentait une terre d’accueil idéale, mais le cout colossal du projet (à une époque où Lisbonne n’est pas encore devenue aussi populaire) et les critiques des spécialistes de l’aéronautique concernant les conditions difficiles d’atterrissage dans la ville font capoter le projet.

10 ans plus tard, l’idée refait surface et semble cette fois-ci pouvoir être menée à son terme. De récentes études concernant les potentielles inondations à Montijo ainsi qu’une proposition d’un groupe d’entrepreneur pour délocaliser cet aéroport à Alverca auraient également pu changer la donne, à la dernière minute.

Les prochaines années seront donc décisives pour le nouvel aéroport de Lisbonne !

Vous êtes à la recherche d’un bon supermarché à Lisbonne, pour vos emplettes en cours de séjour ? Voici tout ce qu’il faut savoir.

Dans cet article, vous trouverez notamment :

• Où faire ses courses à Lisbonne ?
• Quels sont les supermarchés présents dans la capitale ?
• Comment choisir selon votre budget ?
• Trouve-t-on des magasins pour acheter bio ?
• Et bien d’autres choses !

Pour faire vos courses à Lisbonne, vous aurez l’embarras du choix : de la petite épicerie du coin au supermarché, les boutiques pour vos achats alimentaires ne manquent pas dans les principaux quartiers de la capitale. Je vous propose un petit tour d’horizon des principales enseignes, pour que vous ne manquiez de rien durant votre séjour.

Suivez le guide !

Supermarché Lisbonne : sommaire de l’article

Supermarche à Lisbonne :  les principales enseignes pour faire vos courses dans le centre

Si les petites épiceries sont toujours présentes dans le centre-ville de Lisbonne – avec des boutiques qui vendent les produits de première nécessité et quelques fruits et légumes frais – les supermarchés ont gagné du terrain ces dernières années, et plusieurs enseignes se partagent le marché.

Pingo Doce est le bon compromis entre produits à prix raisonnables et qualité. Certains de ces établissements possèdent une boucherie, une poissonnerie et un espace café / petit déjeuner, qui peut être une très bonne solution pour les petits budgets.

Continente Bom Dia est le supermarché de proximité de la marque Continente (un hypermarché présent dans le centre commercial Colombo ou à la gare d’Oriente, notamment). Les prix sont élevés, mais ça dépanne pour de petits achats.

My Auchan s’est implanté récemment dans la ville et les magasins sont de plus en plus nombreux. Misant sur une configuration plus moderne que ses concurrents et sur la vente de produits Auchan, que les visiteurs français reconnaitront, c’est un choix plus onéreux que Pingo Doce mais aussi légèrement plus qualitatif.

Là aussi, il est souvent possible de s’asseoir dans un espace réfection pour un café ou pour grignoter un plat tout juste acheté au traiteur.

Auparavant, les enseignes Jumbo et Pao de Açucar, appartenant au groupe français Auchan,  était présentes au Portugal, mais elles sont désormais renommées Auchan ou My Auchan.

Enfin, pour un vaste choix de produits étrangers et de spécialités régionales portugaises, il y a el Corte Ingles de la station de métro Sao Sebastiao, grande enseigne espagnole assez similaire à nos Galeries Lafayette. C’est sensiblement plus cher qu’ailleurs, mais la qualité est au rendez-vous.

Supermarché à Lisbonne : le low cost présent

On trouve également plusieurs supermarchés low cost, ou présentés en tant que tel.

Lidl vous est certainement familier, alors apprenez qu’une vingtaine de magasin sont présents dans le grand Lisbonne. Le rapport qualité / prix suit une certaine logique, et vous pourrez faire des courses conséquentes sans vous ruiner.

En revanche, et contrairement à ce que l’indique son nom, les prix ne sont pas mini à Mini Preço. Tout porte à croire qu’il s’agit d’un supermarché low cost – de la qualité des produits à la disposition de la marchandise dans la boutique – mais ces petits magasins sont en réalité plus chers que la concurrence et je vous recommande de n’y aller que pour une urgence.

Acheter des produits bio dans la capitale

Si vous cherchez à vous procurer des aliments bio, vous trouverez à Lisbonne un choix conséquent d’enseigne à même de satisfaire vos envies.

Vous trouverez des enseignes comme Biocoop, Go natural ou Bomercado pour faire le plein de légumes et de fruits bio, le magasin Celeiro Dieta dans le quartier de Campo Pequeno ou de Chiado, ou celui baptisé Terra Pura, présent entre autres dans le centre commercial des Amoreiras

Bien sûr, pour des produits frais et locaux, vous pouvez vous rendre aux marchés de Lisbonne !

Les supérettes qui dépannent à Lisbonne

En plus des supermarchés de Lisbonne, la ville regorge de petites boutiques, vestiges des temps passés ou implémentés récemment sous l’impulsion du tourisme.

On trouve des épiceries traditionnelles, proposant le nécessaire du quotidien à des prix raisonnables quand on achète le strict minimum, et c’est là qu’on croise les habitués du quartier qui fréquentent le lieu depuis des années. Pour une petite tranche de vie locale, n’hésitez pas à entrer dans ces boutiques, vouées à disparaître à plus ou moins long terme.

Leurs remplaçantes sont déjà toutes trouvées, avec les petites épiceries qui fleurissent dans tous les coins de rues. Ouvertes parfois très tard, elles vendent des produits alimentaires, des boissons (soft et alcoolisées), des cigarettes et proposent même des services internet / imprimerie pour compléter le tableau.

Hypermarchés : de grandes enseignes dans la périphérie de Lisbonne

Si vous êtes logés en périphérie ou que vous possédez un véhicule à Lisbonne, vous pourrez opter pour des courses en Hypermarchés. Le Portugal a vu fleurir cette nouvelle forme de consommation il y a seulement 30 ans (avec la chaîne Continente, en 1985), et ce type d’établissements gigantesques a toujours la cote au Portugal.

On trouve donc cette enseigne Continente, qui est la même que les plus anciens d’entre vous ont connu en France et qui appartient désormais à Carrefour, qui propose un vaste choix de produits en tout genre, à tarifs réduits. Pour faire le plein, c’est pratique.

Il y a également Leclerc, en périphérie, qui parvient à tirer les prix vers le bas. Il est cependant difficile d’y accéder sans voiture.

Pour faire vos courses, vous savez à présent quel supermarché à Lisbonne choisir. Il est toujours intéressant de faire un tour dans un magasin alimentaire, soit pour ramener quelques souvenirs, soit pour vous faire une idée du coût de la vie locale et des produits qu’on trouve ou non dans une ville !

Je vous présente le quartier de Bica, central et animé, qui possède un charme particulier.

Dans cet article, vous trouverez notamment :

• Qu’est-ce que Bica à Lisbonne ?
• Comment s’y rendre ?
• Que faire à Bica ?
• Où manger dans le quartier ?
• Et bien d’autres choses !

Vous trouverez toutes les réponses concernant ce quartier dans cet article. Suivez le guide !

Quartier Bica de Lisbonne : sommaire de l’article

Présentation du quartier Bica de Lisbonne : un petit quartier adjacent au Bairro Alto

Le quartier de Bica fait partie des quartiers traditionnels du centre de la capitale. Il se situe au croisement des quartiers de Cais do Sodré, Chiado, Bairro Alto et Santa Catarina.

Ce petit quartier au cœur du vieux Lisbonne vous entraine dans des dédales de marches en pierre, entre ruelles biscornues et bâtiments datant du 17e et 18ᵉ siècle.

Outre la vue sur le Tage, le quartier vous réjouira par ses couleurs, le linge aux fenêtres et autres pots de fleurs.

Par le passé, il fut le lieu de vie des pécheurs. Aujourd’hui, c’est un quartier connu pour ses petits bars et échoppes et son funiculaire ou Ascensor da Bica. La plupart des rues, boutiques et commerces font d’ailleurs mention du quartier dans leur nom.

En effet, le quartier est sur les pentes de la colline allant du Tejo au Bairro Alto. Vous pouvez donc le traverser depuis Cais do Sodré, après un déjeuner au Mercado da Ribeira par exemple. En prenant « l’ascenseur », vous découvrirez le quartier tout en allant aussi vers Principe real et Chiado.

Comment se rendre dans le quartier ?

Voici une carte pour vous aider à vous repérer :

Le quartier de Bica est un des quartiers du centre historique de Lisbonne.

Vous pourrez vous y rendre facilement depuis Cais do Sodré (c’est proche d’accès depuis la station de tram) ou depuis le Bairro Alto, via la place Luis Camões.

• En métro, le quartier est assez proche de l’arrêt Chiado, via les lignes bleue ou verte (Station Baixa-Chiado).

Attention, car Bica propose peu de places de parking.

• En bus ou tramway, voici les lignes pour y aller ou en partir : Tram 25E / Bus: 714, 774 (arrêt Bica)

Que faire dans le quartier de Bica ? 

Voici quelques raisons de vous promener dans les rues et ruelles du quartier.

Le funiculaire de la carte postale 

Comme déjà mentionné, le quartier abrite un funiculaire très connu à Lisbonne. L’elevador da Bica est un vestige des premiers transports en commun portugais, et promet une balade dans le temps autant que dans l’environnement lisboète traditionnel.

Une rue emblématique 

Qui plus est, la Rua da Bica de Duarte Belo est une attraction à elle seule. En effet, elle fait partie des plus belles rues d’Europe selon certains classements. Elle attire les photographes pros ou touristes du monde entier.

Le Mirador d’Adamastor 

Le quartier permet aussi de rejoindre à pied facilement le Miradouro de Santa Catarina (ou Adamastor) depuis le Bairro Alto. Ne manquez donc pas d’y admirer la vue sur le fleuve et le Pont du 25 Avril.

Une session shopping ? 

Enfin, vous pourrez vous rendre ensuite vers le Chiado, et y faire du shopping ou simplement y admirer les bâtisses chics et hôtels particuliers des environs.

Où bien manger à Bica ? 

Voici mes bonnes adresses de restaurants ou bars, dans le quartier.

Santa Bica

Le restaurant bar Santa Bica offre un petit coin de tranquillité en plein cœur de Lisbonne. Entre les tables intérieures ou le patio, l’endroit est parfait pour s’y restaurer ou y boire un verre, été comme hiver.

• Adresse: Travessa do Cabral 39
• Horaires: Du mardi au dimanche, de 18h à 1h du matin

Estrela da Bica 

Un sympathique bistrot dans lequel on se régale d’une cuisine portugaise raffinée, avec des classiques revisités et des plats à partager. L’inspiration asiatique séduira les gourmets, pour un établissement établi ici depuis 2006 !

• Adresse: Tv. do Cabral 33, 1200-073 Lisbonne
• Horaires: du mardi au samedi, de 18h30 à minuit